En cinq ans, les trois grands partis traditionnels francophones ont perdu 368.000 voix aux élections fédérales. Si on y ajoute les scrutins régionaux et européen, c’est plus d’un million de
Étiquette : Le Soir

Noir Jaune Blues, et après? Huit mois d’immersion, un vent d’espoirNoir Jaune Blues, et après? Huit mois d’immersion, un vent d’espoir
« Noir, Jaune, Blues, et après ? », c’est une aventure journalistique hors du commun qui trouve son épilogue – provisoire – dans notre dossier. Une aventure qui a débuté en janvier

« Noir Jaune Blues, et après? » à Jette: « Il faut casser les murs, physiquement »« Noir Jaune Blues, et après? » à Jette: « Il faut casser les murs, physiquement »
Jette est la deuxième étape des immersions citoyennes du « Soir » et de la RTBF. Nos journalistes sont allés à la rencontre d’une population fière de sa commune, mais qui s’interroge

Les politiques. Et moi?Les politiques. Et moi?
Les Jettois se sont accoutumés, bon gré mal gré, aux imposants travaux de la place du Miroir. Parler travaux, c’est souvent embrayer sur la démocratie locale. Rencontres avec quelques déçus

Jette, l’ancien et le nouveauJette, l’ancien et le nouveau
Les générations se parlent-elles encore? Et où les jeunes peuvent-ils encore croiser leurs aînés? Le Miroir, Cardinal Mercier: deux places, deux ambiances. À Jette, tout le monde vous dira que

Jettois, les anciens et les nouveauxJettois, les anciens et les nouveaux
Jette, comme d’autres communes de Bruxelles, doit faire face à l’afflux depuis un demi-siècle de nouveaux habitants venus de l’étranger. Comment accueillir ces immigrés? Plutôt que le « vivre ensemble », on

Les écoles de Jette, entre élitisme et « ghettoïsation »Les écoles de Jette, entre élitisme et « ghettoïsation »
Symbole de cette séparation entre les communautés en Belgique: les écoles. Certains ont des idées pour casser cette machine à reproduire les classes sociales. La séparation entre les communautés commence

Le commentaire: Parler ensemble, c’est déjà faire sociétéLe commentaire: Parler ensemble, c’est déjà faire société
Je ne connais pas Bruxelles. Pourtant, j’y habite. Trois ans de vie à Woluwe-Saint-Pierre puis à Etterbeek n’ont pas suffi au natif du Hainaut que je suis pour me permettre